L'école Sogetsu de Tokyo
Sa création :
En 1927, Maître Sofu Teshigahara fonda cette école. Après avoir appris tous les secrets de l’Ikebana avec son père, il prit son envol pouvant s’affirmer à travers un art aux possibilités créatrices aussi infinies que la peinture… Il rêva d’être peintre.
Ce terme SOGETSU (en japonais plante 草 et lune 月) se révéla à lui lors d’une promenade dans la nature au bord de l’eau, par un soir de clair de lune.
Il participa aussi à la vulgarisation de cet art en donnant des leçons à la radio, puis à l’étranger. Ce fut la première école exportée !
Ses différents IEMOTOS :
À la mort de Sofu Teshigahara, en 1979, son école fut reprise par sa fille Kasumi, qui y apporta toute sa féminité, puis par son fils Hiroshi, sculpteur et metteur en scène, réalisant de grands espaces en bambous, et enfin par Akane, sa petite fille, très soucieuse d’un certain renouveau et d’ouverture.
Ses particularités :
C’est une école moderne qui utilise librement toutes sortes de matériaux (végétaux, plastique, métal, verre, etc) et les formes sculpturales de notre temps tout en conservant les principes de l’arrangement traditionnel de l’Ikebana. Sofu Teshigahara permit aux compositions florales de quitter le « Tokonoma », (en japonais =alcôve), et de s’élever ainsi au rang d’Art à part entière.
Chaque composition est caractérisée par 3 lignes principales :
Shin = le ciel, la plus belle,
Soe = l’homme, le lien entre le ciel et la terre
Hikae = la terre, toujours en fleurs.
Le regard est attiré par la force du ciel et par les fleurs qui doivent regarder le cosmos, la lumière.
En 1927, Maître Sofu Teshigahara fonda cette école. Après avoir appris tous les secrets de l’Ikebana avec son père, il prit son envol pouvant s’affirmer à travers un art aux possibilités créatrices aussi infinies que la peinture… Il rêva d’être peintre.
Ce terme SOGETSU (en japonais plante 草 et lune 月) se révéla à lui lors d’une promenade dans la nature au bord de l’eau, par un soir de clair de lune.
Il participa aussi à la vulgarisation de cet art en donnant des leçons à la radio, puis à l’étranger. Ce fut la première école exportée !
Ses différents IEMOTOS :
À la mort de Sofu Teshigahara, en 1979, son école fut reprise par sa fille Kasumi, qui y apporta toute sa féminité, puis par son fils Hiroshi, sculpteur et metteur en scène, réalisant de grands espaces en bambous, et enfin par Akane, sa petite fille, très soucieuse d’un certain renouveau et d’ouverture.
Ses particularités :
C’est une école moderne qui utilise librement toutes sortes de matériaux (végétaux, plastique, métal, verre, etc) et les formes sculpturales de notre temps tout en conservant les principes de l’arrangement traditionnel de l’Ikebana. Sofu Teshigahara permit aux compositions florales de quitter le « Tokonoma », (en japonais =alcôve), et de s’élever ainsi au rang d’Art à part entière.
Chaque composition est caractérisée par 3 lignes principales :
Shin = le ciel, la plus belle,
Soe = l’homme, le lien entre le ciel et la terre
Hikae = la terre, toujours en fleurs.
Le regard est attiré par la force du ciel et par les fleurs qui doivent regarder le cosmos, la lumière.
